Neige de février, vaut un bon...
...fumier ! Tout le monde le sait, n'est-ce pas ? Sauf qu'avec ce yoyo des températures, les plantes ne savent plus trop où elles en sont !
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...fumier ! Tout le monde le sait, n'est-ce pas ? Sauf qu'avec ce yoyo des températures, les plantes ne savent plus trop où elles en sont !
Toujours aux aguets, Léon repère le moindre changement au jardin !
Non, ceci n'est pas un mouton ! Nous appuyant sur ce cher Magritte et sur notre expérience, nous sommes bien en mesure d'affirmer que...ceci n'est pas un mouton puisque c'est un poisson d'avril. D'ailleurs, cette plante est-elle bien une jonquille ? C'est fort improbable.
Après une longue absence sur la jardisphère, les végétalistes (ceux qui plantent des végétaux, qui végètent dans leurs actes ou qui procrastinent au jardin...) du JAIM que nous sommes, osent une petite note, histoire de garder le contact. Il faut dire qu'il n'y a pas grand chose à montrer tant les longues gelées ont retardé les plantes quand ces dernières trop précoces avec un printemps dans l'hiver puis un hiver dans le printemps (on s'y perdrait) n'ont pas tout bonnement gelé. Seul l'amélanchier du Canada a supporté les moins sept en restant en fleurs.
Alors en attendant des jours à l'horizon plus large, il a fallu nettoyer les prés des équins, aidés par Léon.
Un bien étrange papillon s'est invité sur les arbustes en fleurs. On dirait une feuille, beau déguisement... Mais lui, le pauvre rouquin du JAIM, doit sentir des ondes inquiètes chez ses humains-jardiniers et il est un peu en demi-teinte, comme le reste du jardin.