A l’heure où la planète faisait des économies, hier entre vingt heures trente et vingt et une heures trente, le réchauffement climatique se rappelait à notre bon souvenir… Et ce matin, le pin noir d’Autriche se sentait plus autrichien que jamais !

Bien heureusement, quelques rayons bienfaisants ont eu raison  de l’obstinée visiteuse du printemps. Pour compléter les surprises (je passe sur le fait que nous avons gagné deux euros au grattage d’un millionnaire tentateur, à l’heure du journal = ça paiera toujours un godet de vivaces !), un passant ailé est venu (avec sa compagne s’il vous plaît !) embellir la maison de ses plumes et de son œil clair et coquin. Peut-être était-il envoyé par Marithé car il semblait bien bavard… Depuis sa cachette, Nuage malicieux, le doux européen aux tatouages de cumulo-nimbus, n’a rien perdu de la scène !

F.