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Info… épidémie ? …

« Lavez-vous les mains, utilisez des mouchoirs à usage unique »….. et tout le reste …. Nous sommes informés, surinformés, désinformés au sujet du nouveau virus de la grippe….. Mais, dans le jardin intime, voilà ce que nous avons repéré

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Est-ce grave ? Ô grandes prêtresses de la jardibloggosphère … Et comment soigner ?

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L’œil attentif de l’apprenti-jardinier (qui se déguise parfois en ennemi du jardin, voir le post correspondant), l’œil attentif, donc a repéré tout ça sur un laurier rose…..

 

Merci d’avance du diagnostic et de l’ordonnance….

 

Ceci dit bon week-end à tous et bonne chance !

Je vous parlerai la prochaine fois de la Marquise des Anges.

M comme Verveine Sauvage.

Commentaires

  • Jardin intime?? J en veux un aussi. Merci pour les conseils de retour de vacances...

  • Je ne sais pas ce que c'est, je vais regarder les miens demain pour voir de plus près, mais aucune idée ce soir

    Bises

  • Je n'ai pas de laurier rose. Sont-ce des araignées rouges, blanches, des chenilles ? Dans tous les cas, je coupe et je brule ! La pluie tant attendue s'est soldée par un pipi d'oiseau !

  • cela ressemble à des araignées rouges mais ce sont peut-être des chenilles.Dans le doute, comme Danielle, je couperais les parties "atteintes"...

  • Ouah ! ça ressemble à des araignées rouges... c'est à cause de la sécheresse, elles adorent ça ! S'il n'y en a pas trop, enlève-les à la main, puis bassine bien la plante avec de l'eau (à refaire, s'il fait trop sec !). Sinon, il faut effectivement couper, et en derniers recours, traiter avec un acaricide spécifique. Les moyens traditionnels ou chimiques contre les insectes ne servent strictement à rien. Sur mon post du 19 janvier j'avais mis des gros-plans de ces bestioles qui s'en étaient prises à mes orchidées ! Je te souhaite zèle et courage, rien n'est perdu !
    Amitiés, Michèle

  • Ah, on retrouve avec plaisir la machine qui nous plonge dans les aventures du Jardin intime...quel oeil Florent! Verveine et Florent,la Belle et la Bête!
    Diois, cet été, jardin cryogénisé à - 273,15 par la taffourgniasse et l'absence d'arrosage; silence et chappe de chaleur étouffant toute sauvagerie...ô temps, suspend ton vol et vous, heures propices, suspendez votre cours...roses à peine écloses momifiées sous les Ultra-Violets, plantes rabougries fossilisées, chardons noirçis, glaïeuls qui n'ont jamais fleuri, tournesols squelettiques qui jouent à l'autruche, la tête cognant la glaise craquelée, fruitiés déplumés; et les pies qui ricannent... on verse une larme.
    Colère, j'arrache tout ce qui bat de l'aile, la terreur de 93, coup de tondeuse jusqu'à l'os, le sécateur qui valse- Edward aux mains d'argent- et ça barde...et que reste-il ?
    Après un gros orage, l'ombre et la lumière; fabuleuse, l'ombre de la lumière de septembre, un théatre d'ombres dans le jardin, lumineuses ombres sombres et claires, ombres chinoises des cognassiers, ombre argentine de l'herbe de la Pampa, ombre noire coupante des ifs et des cyprès, ombre temblée des frènes, rougeâtre des épines de pins, verte fonçée des érables...au couché, ce n'est qu'ombres et lumière caressante et le jardin repose. Belle saison l'automne, cultivons la part d'ombre du Jardin!
    Paix et Amour.
    Gustave

  • tout a été dit... je couperai aussi moi...

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