Sauve qui peut !
Que faire en ces temps de canicule ?
Si ce n'est nager dans les eaux claires des ruisseaux du Massif ?
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Que faire en ces temps de canicule ?
Si ce n'est nager dans les eaux claires des ruisseaux du Massif ?
Les jardineuse et jardineur du JAIM s'interrogent sur les idées toutes faites. Ils sont si naïfs et pourtant (attendez la fin) victimes de bien des déboires !
Une fois n'est pas coutume. Cet article sera essentiellement composé de photos. Pas de bavardage, juste un regard posé sur le jardin qui, enfin, se réveille brusquement ! Savourez...
On pourrait l'écrire en Espéranto pour mettre tout le monde d'accord... En ces temps hivernaux, on se contentera de l'anglais. Les piafs piaffent du tournesol et c'est l'essentiel.
Alors que les températures ne dépassent guère les cinq degrés ce jour, après un demi-Mai en neige et en pluie (déjà plus de 150 mm ce mois !), les jardiniers du Massif s’interrogent sur la santé de leurs protégés en herbe. Saurez-vous nous aider ? Tout a commencé (concernant nos interrogations) avec cet « acer flamingo panaché » acquis à l’automne, sans feuilles : pourquoi a-t-il des feuilles de deux variétés : voyez plutôt !
Frimas rime (ou assone) avec frémir. Lorsqu’il arrive les végétaux frémissent de sa caresse portée par l’Aquilon. Lorsqu’il s’enfuit, ces mêmes végétaux frémissent d’impatience et se jettent éperdument dans la douceur (presque) retrouvée des éléments ! Deux jours de vent du sud ont lancé de nouveaux espoirs sur le jardin. La neige n’a pas résisté aux trois degrés positifs et elle s’enfuit (provisoirement) pour laisser sa place à l’irrésistible légèreté du fenouil !