Jardins de glace
Pendant que le soleil timide de janvier chasse les dernières traces de neige du mois dernier, Dame Glace prend, la nuit, le relais du blanc manteau. Paradoxe de la nature…
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Pendant que le soleil timide de janvier chasse les dernières traces de neige du mois dernier, Dame Glace prend, la nuit, le relais du blanc manteau. Paradoxe de la nature…
Encore -4... et besoin de rêver, d'aller vers l'été à pas comptés, précis et poétiques. D'aller vers les roses....
A Curt Wiedwald. Janvier 1949.
La terre ne nous accorde plus grand-chose ;
"Silence figé, fêlé du cri des corbeaux, ce matin mon jardin se raidit sous le givre. Juste un bruit de papier déchiré quand les pieds écrasent l'herbe..."
Quel avantage, en ces temps de froidure, d’habiter en exposition sud.
Des températures diurnes enfin positives et le jardin se met à frémir et ses créateurs-esclaves à rêver!