Par la barbe d’Hélios
Dans la langueur de cette fin d’été, le jardin a pris une nouvelle saison. Les épilobes ont vieilli et portent désormais une vénérable barbe.
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Dans la langueur de cette fin d’été, le jardin a pris une nouvelle saison. Les épilobes ont vieilli et portent désormais une vénérable barbe.
Le chemin tournant, tout bordé d'un buisson épais d'épilobes roses, dominait un plan ravivé au flanc duquel surgissaient deux puissantes roches de basalte d'aspect monumental, portant à leur cîme des aspérités volcaniques qu'on eût pu prendre pour des ruines de forteresses (George Sand, L’orgue du titan).
Le mois de juillet est celui des épilobes ; le premier, le laurier de Saint-Antoine, couvre de grandes étendues et improvise ainsi une mer dont nous recevons les embruns colorés…