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L'été est bien là, la chaleur aussi, et la sécheresse menace lentement. Les grosses pluies de juin ont permis une fenaison exceptionnelle mais juillet tend à prendre des airs de punition pour le jardin. Il paraît qu'il va pleuvoir dès aujourd'hui... Si on devait croire tout ce que l'on nous dit ! En attendant il reste de la joie au JAIM et après la floraison des sorbiers Sem, voici le retour tant attendu des roses trémières !
Petit hommage à Marcel Pagnol et retour aux sources du cinéma avec des images presque sans paroles. C'est le temps des amours depuis le printemps qui s'étire, le temps des naissances et des floraisons en attendant les grandes chaleurs désormais coutumières. Tout resplendit. Un petit aperçu du bonheur en ces temps de travail atténué.
Beaucoup de pluie, peu de chaleur, et une multitude d’habitants qui ne se montrent pas forcément. Première rencontre de la saison entre voisins d’espèces différentes. Un premier constat le jardin reste cosmopolite en termes d’entomologie !
Après quelques temps d'absence, les jardiniers livrent, dans le désordre, la multitude de fleurs qui explosent en ces quelques jours ensoleillés ! Juste quelques noir et blanc pour valoriser les couleurs, et quelques flous pour leur donner cet aspect romantique !
Pour atténuer la brûlure du soleil et les effets de la canicule, les jardiniers-photographes du JAIM ont tenté l'expérience du noir et blanc, une manière comme une autre d'adoucir la violence du moment. Mais pas de faux procès ! Si notre environnement est en vedette, il n'est en aucun cas photoshopé !!! Juste un gros plan en couleur sur notre sujet ! Et ça peut avoir du panache, même pour les escargots !
Ne les oublions pas ! Ils butinent, dévorent (les feuilles comme les pucerons !), parcourent tiges, pistils, étamines, pétales, fleurs et sépales… Ils vont et viennent, presque de manière discrète, dans les allées désordonnées de nos jardins. Nombreux et audacieux, arborant leurs peintures de guerre végétale, quand on veut bien y prêter l’œil, on découvre leurs charmes irrésistibles. Quant à leur nom ? C’est une autre affaire ! Mais, suivez le guide, on démarre par la droite :
