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C’est un peu ainsi que nous avons vécu notre retour de vacances. Dix jours d’absence et un avant-goût des grands espaces argentins apparaissait à nos yeux. On peut ainsi voyager immobile, c’est déjà ça ! Bon, c’est un peu exagéré mais il s’agissait d’introduire la Verveine de Buenos-Aires qui a fort bien tiré ses pétales du jeu de la sécheresse.
Quelques jours loin du jardin, une canicule d’enfer et, au retour…..
Dans ce jardin célèbre, le lys tigré tente de ramener le calme entre les fleurs persifleuses
« Silence, vous toutes ! cria le lys tigré en se balançant furieusement d’un côté et d’autre, tout tremblant de colère. Elles savent bien que je ne peux les attraper ! gémit-il courbant vers Alice sa tête frémissante, sinon elles n’oseraient pas faire ça… » (Lewis Carroll )
Autoritaire le lys ?