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  • L’automne tisse sa toile

    Matinées froides, douces après-midi, lentement l’automne nous apporte son lot de richesses. C’est d’ailleurs bien le sens du mot qui désigne cette belle saison. En attendant « l’été auvergnat » (une variante de l’été indien) et ses couleurs enivrantes (à moins que comme souvent une tempête emporte toutes ces couleurs chatoyantes en une journée –c’est hélas de plus en plus souvent le cas !), profitons des fleurs de septembre et des êtres mystérieux du jardin !

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  • Le jardin intime du Massif se la pète un peu !

    Nous avons participé au concours des maisons fleuries organisé dans notre commune… Hier, c’était le résultat….Nous sommes arrivés second !!! Alors on est très fiers … On se la pète ! Notre BB jardin, de quatre ans seulement !!! Reconnu !!! Le gagnant avait un potager , pas nous ! …

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  • Invasives ?

    Je lis ici et là les ravages  de plantes et d’animaux importés sur notre territoire. J’entends par ci par là qu’il convient d’endiguer ce phénomène sous peine de voir disparaître la végétation locale… Bien sûr, j’entends ce message mais sans le comprendre. Car ici, pas d’invasion hormis les végétaux locaux ! Frênes par centaines, sycomores voyageurs, pruneliers en goguette, boutons d’or et pissenlits, épilobes et genêts, c’est contre ceux-là que nous luttons ! Exit les berces du Caucase et impatiens de l’Himalaya étouffées dans les fissures de notre terre argileuse ! A bien y réfléchir, il y aurait bien quelques plantes audacieuses mais je les qualifierais davantage de « territoriales » que d’ « invasives » : j’ai nommé les euphorbes « petit cyprès ».

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  • Jardin céleste

    Ça commence par une certaine lassitude. Arpentant les allées  désordonnées, le passager du parc se sent alors désœuvré… Un sentiment que tout artisan de la nature connaît à un moment ou un autre, las d’attendre le soleil ou la pluie, dans ces moments d’exception où le jardin n’appelle pas à la caresse, à une prise en charge qui l’éloignerait encore d’une sauvagerie inexorable. Un temps neutre où se confondent les heures et les nuages. C’est alors que le regard du jardinier se détourne, lui qui par le passé fut un vrai nomade avant de se dire qu’un jour il fallait bien, à force d’exubérance anglaise et d’esthétisme italien, de rigueur française et de dépouillement nippon, inventer à son tour un lieu qui lui ressemblerait. Là, il se remémore les images d’hier et lève les yeux au ciel…

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  • Par la barbe d’Hélios

    Dans la langueur de cette fin d’été, le jardin a pris une nouvelle saison. Les épilobes ont vieilli et portent désormais une vénérable barbe.

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