Dans mon jardin d'hiver
Sur les ailes de la tempête Joachim, il est arrivé, voici trois jours et avec un mois de retard.
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Sur les ailes de la tempête Joachim, il est arrivé, voici trois jours et avec un mois de retard.
Voici venu le temps du ramassage alors que dans le Jardin Intime on est passé de l'été à l'hiver en un jour. Mais cette grande chaleur printanière n'a pas eu que des défauts puisque les fleurs des fruitiers ont survécu en nombre aux gelées souvent trop tardives. On ne sait plus où donner de la tête, tout, d'ailleurs devient flou...
Après une longue absence liée à une overdose de travail informatique et sous la pression de la jardinière du Massif, un peu aussi pour partager à nouveau des merveilles fugaces avec tous les jardiniers du monde, voici une petite note un brin mélancolique sur ces moments où, les feuilles voletant déjà au-dessus de nos têtes, quelques douces fleurs ensoleillent encore le jardin. C'est le cas de l'anémone du Japon...
Encore une drôle d’année où après un été au printemps on voit tomber des flocons le premier juin…Depuis trois semaines, la pluie a recommencé à tomber. Au soixante-dixième litre d’eau, le Jardin Intime retrouve un peu de vigueur et ose reconquérir les murs qui abritent ses jardiniers. Et ce n’est pas pour leur déplaire !
Printemps précoce, trois semaines d'avance sur les floraisons et toujours pas de pluie... En attendant, la nature nous offre de belles images inattendues pour la saison !
Après les concepts de cittàslow, de slowfood et de toutes ces bonnes idées qui visent à faire de notre vie turbulente un éternel présent, nous inventons celui de « maison lente » ! Il faut avouer qu’ici ce n’est pas trop difficile, le rythme des saisons se réduisant trop souvent à un miroir où l’été se regarde dans l’hiver et inversement. En attendant, les bruyères sortent lentement de leur torpeur !