Le divin canin...
Le hasard a voulu que notre divin Busky s'en aille, nous laissant, les jardineurs, à la peine... Une connaissance nous oriente et voilà que notre teuton-flamand apparaît ! Nous avons longtemps hésité mais c'est celui de gauche !
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Le hasard a voulu que notre divin Busky s'en aille, nous laissant, les jardineurs, à la peine... Une connaissance nous oriente et voilà que notre teuton-flamand apparaît ! Nous avons longtemps hésité mais c'est celui de gauche !
Un petit hiver semble s'annoncer, en contraste d'un ridicule hiver l'an passé... Alors, "bienvenue", oui, dans les instants givrés du JAIM avant la fête de la lumière de ce jour. La tradition encore. Du Velay, au Forez, au Lyonnais, par cappilarité, on remercie la peste de s'en être allée. Pourtant, il nous faut faire un peu d'efforts même si ici, après de longues ignorances de printemps, nous avons été plongés dans les grandes épidémies d'automne. Cela semble s'éteindre lentement...
On se souvient tous de cette élégante considération de Paul Eluard : "la terre est bleue comme une orange". Eh bien c'est une réalité puisque ces dernières nuits c'était l'époque de la Lune Bleue. La photo est d'un des mes amis, R. Deville, prise au 600 mm à 4h du matin, moi je ne me réveille qu'à cinq. Je n'ose pas vous montrer ma photo prise au réflex 140 mm, vous vous moqueriez. Et puis je laisse aux spécialistes l'initiative de faire valoir leurs talents ! Oui, cet automne est rond et coloré mais mes photos ne sont pas toujours carrées avec cette coccinelle de novembre : on aura tout vu, même les vipères sont de sortie !
L'été est bien là, la chaleur aussi, et la sécheresse menace lentement. Les grosses pluies de juin ont permis une fenaison exceptionnelle mais juillet tend à prendre des airs de punition pour le jardin. Il paraît qu'il va pleuvoir dès aujourd'hui... Si on devait croire tout ce que l'on nous dit ! En attendant il reste de la joie au JAIM et après la floraison des sorbiers Sem, voici le retour tant attendu des roses trémières !
Petit hommage à Marcel Pagnol et retour aux sources du cinéma avec des images presque sans paroles. C'est le temps des amours depuis le printemps qui s'étire, le temps des naissances et des floraisons en attendant les grandes chaleurs désormais coutumières. Tout resplendit. Un petit aperçu du bonheur en ces temps de travail atténué.
Le titre fait bien sûr référence à Jean Giono qui nous inspire tant, nous jardineurs. Mais ce sont des mois de mai et de juin exceptionnels qui s'exposent avec de l'eau juste quand il faut. Les jardiniers déconfinés s'extasient devant tant de merveille...