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colette

  • Violettes Impériales

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    Fleur des Reines et des Impératrices- de Marie-Antoinette  à  Joséphine et Eugénie- des pauvresses comme Elsa Doolittle dans My fair Lady, elle fleure bon les illustrations d’autrefois, les parfums de grand-mères, les petites marchandes des grands boulevards parisiens et les dictées écrites à l’encre violette et corrigées à la craie blanche…

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  • Un grand séducteur joue carte sur table

    Colette  écrivait : « Narcisse s’empreint d’une pâleur crémeuse, borde d’un petit gansé rouge sa collerette  gaufrée qui repose sur une berthe de pétales… berthe, collerette et  gansé… Me voilà donc bien pauvre de mots que je suis à les prendre parmi ceux des parures féminines ? Non, mais l’évocation est directe, et frappante, de pétale à colifichet, de corolle à dentelle »

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  • Timide Anémone animale

    Colette écrivait d’elle « Dieu sait si Redouté l’a peinte ! …La fleur achevée, il y posait la goutte, le cabochon de rosée, dont il usait comme d’une mouche assassine. C’est de lui que les princesses apprenaient à peindre et l’anémone à pleurer. L’anémone, et les cent roses, et l’oreille-d’ours, tout ce qui dans la nature porte pruine de velours, sous le pinceau de Redouté fond en larmes… »

     

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