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  • Riki l’escargot

    Après les boulotteurs et les bouletteurs, voici un habitant venu du fond des temps. Sa réputation n’est plus à faire, terreur des jardiniers, envahisseur précoce sous l’averse, soldat d'une armée des eaux, visiteur curieux, il sait pourtant contenter les amateurs de gastéropodes à l’ail et au persil. Nous avons beau être en Auvergne, chaque période arrosée voit sortir cette armée des ombres végétales aux accents bourguignons… Que sont devenus les « p’tits gris » caractéristiques des lieux ? Ont-ils disparu cette année comme les coccinelles ? La réalité est bien là !

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  • Rêves de plantoir et réalités

    Quel esprit ne bat la campagne?
                Qui ne fait châteaux en Espagne?

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  • Le petit monde, don du jardin-haut

    Ça boulotte au jardin, peut-être même que ça boulette ?  Etes-vous boulettologue ? Plongé dans mon travail sur ordinateur j’entendais cela sur France Inter : une Internationale des boulettes dont les membres altruistes n’ont de cesse de cuisiner pour le bonheur des autres… Alors nos petits êtres du jardin font-ils aussi des boulettes pour le plaisir de leurs congénères ou pour celui des entomologistes ? Ce qui est certain c’est qu’avant de faire des boulettes, ils boulottent, rongent, rognent, grignotent, grattent, désagrègent, désintègrent, bref ils MANGENT ! Ils font des p’tits trous, toujours des p’tits trous, des petits trous. Mais bon, le jardinier écolo doit avant tout être tolérant tant il est vrai (paraît-il) que cette attitude face à la nature a une répercussion dans son comportement face au monde des vivants en général : j’ai nommé les humains… Bon là je ne m’engage pas plus !!! Allons plutôt faire un tour au jardin, je vous emmène.

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  • Farniente au Jardin Intime

    Trois jours à ne rien demander d’autre que de profiter de ce que le jardinier peut appeler son « œuvre » ! Bien sûr, rien ne se ferait sans Dame Nature mais, il faut l’avouer, il y a du contentement lorsque, dans la lumière douce et encore fraîche de ce premier juin, on savoure le chemin parcouru : des allées qui se dessinent dans une ambiance un brin british, les carrés d’épilobes sauvages en attente qui dominent leurs alliées plus domestiques, l’irrégularité choisie des arbres et arbustes et, pour trois semaines dans l’année, la réunion de tous les animaux du jardin ! Car les chevaux sont dans la partie réservée à leur intention, heureux de partager le même territoire que leurs humains et autres chats et chiens du jardin. Un écureuil s’est même risqué dans un accrobranche somptueux sous l’œil médusé des chats !

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