Amour en cage
L’hiver nous fait un dernier signe, sourire léger aux lèvres il laisse derrière lui cette dentelle arachnéenne…
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L’hiver nous fait un dernier signe, sourire léger aux lèvres il laisse derrière lui cette dentelle arachnéenne…
Vous avez vu que le passage à l’heure d’été nous a fait une farce arctique… et bien il y avait en même temps un cadeau :
A l’heure où la planète faisait des économies, hier entre vingt heures trente et vingt et une heures trente, le réchauffement climatique se rappelait à notre bon souvenir… Et ce matin, le pin noir d’Autriche se sentait plus autrichien que jamais !
Des flocons virevoltent et se partagent l’atmosphère avec une bruine bienvenue. Loin de ces préoccupations climatiques, madame Mahonia (elle ne peut être que féminine malgré son pseudo déterminant !) fait du gringue aux jardiniers…
« Souvent j’ai la nostalgie d’un jardin habité où toute sorte d’animaux viendraient s’esbaudir, lapins joueurs ou biches en promenade, belettes pressées par un rendez-vous, renards timides ou écureuils besogneux. J’aimerais, assise sur mon banc, apercevoir le chatoiement d’un faisan. Images naïves d’une enfance tout imprégnée par La Fontaine. » A.M Koenig
Carnets d’un jardin
Les houles de l’hiver s’enflaient encor au loin dans les bois de sapins. L’allégresse d’avril pourtant portait nos pas tout au long de l’allée de hêtres magnifiques que borde un très vieux mur de roches volcaniques.
Jacqueline Le Pivert, Avril en forêt auvergnate (Les saisons incertaines)
Jules Romains avait écrit les « hommes de bonne volonté » de ce pays. En Haute Loire, peu de jardins mais des êtres de valeur. Allègre est le petit village qui a vu naître cette grande dame qu’est Germaine Tillion, grande résistante.