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Dans le jardin intime comme sur les plages du monde il s’en passe de fameuses pendant l’été… Et bien sûr tout le monde se demande : qui sort avec qui ???? Passionnant, non ?
Un scoop :
mariage impérial (sedum imperator et une belle inconnue, d’ailleurs si une savante jardinière pouvait la nommer ce serait sympathique !!!)
Quand souffle le vent du sud sur le massif, mieux vaut rester à l’ombre à observer la cour… Eté capricieux qui passe de six degrés lundi à trente hier. Le jardin souffre, sue, se rétracte, se balance au gré des violentes rafales et semble parfois crier sa soif en passant du vert au jaune. Jaune, couleur de la colère chez les végétaux.
Comme les jardiniers s’affairent dans la maison et sont peu scribouillards dans la jardiblogosphère vous pensez sans doute qu’il se passe ceci…
« Tête légère ! Et sonnante comme un grelot, mais non point vide. Sous sa couronne ronde une rangée de petit pertuis s’ouvre, la maturité venue, et saupoudre d’un poivre fin la terre bien ciblée ou poussera le prochain pavot de l’année qui vient, le grand pavot » rose qui s’est invité à la table du jardin intime …
Le chemin tournant, tout bordé d'un buisson épais d'épilobes roses, dominait un plan ravivé au flanc duquel surgissaient deux puissantes roches de basalte d'aspect monumental, portant à leur cîme des aspérités volcaniques qu'on eût pu prendre pour des ruines de forteresses (George Sand, L’orgue du titan).
Le mois de juillet est celui des épilobes ; le premier, le laurier de Saint-Antoine, couvre de grandes étendues et improvise ainsi une mer dont nous recevons les embruns colorés…
« La passerose qu’on nomme aussi rose trémière
Fleurit au jardin des garde-barrières
C’est une fleur en papier peint
Qui regarde passer les trains…. »
Ratel